Dans les années soixante, le BUMIDOM (Bureau pour le développement des Migrations dans les départements d’Outre-Mer) favorisait le départ de nombreux Antillais et Réunionnais attirés par une « France rêvée » et fuyant ainsi la misère provoquée entra autres par la fermeture des usines à sucre. Bien que venant d’un département français, certains, victimes d’une émigration forcée et politique, d’autres, artisans de leur propre exil, découvrent en métropole une réalité bien différente de celle qu’ils avaient imaginée…